Restant sur une défaite à L'Hôpital, le SO Merlebach se devait de retrouver la bonne voie chose faite en Coupe de France à Achen où, malgré la résistance du challenger, le onze merlebachois a décroché son billet pour la suite de l’épreuve grâce aux réalisations de Wilhelm, Ilbay et Meskine (3-1).
Retour au positif qu'il voudra confirmer en accueillant Morhange ce dimanche, à 15 h à Philippe-Schuth, en championnat. Un adversaire dont il avait disposé à deux reprises la saison précédente, mais qui, là, est mieux parti que le SOM avec deux victoires sur L’Hôpital (2-0) et Farébersviller (2-1), une qualification en coupe nationale à Forbach-Bruch (4-1), et toujours Pérek et les deux frères Colléate aux manettes!
"Morhange, c'est du lourd " reconnait d'emblée Manuel Leite, qui enchaîne: "C'est une équipe difficile à bouger du fait de son organisation bien en place et de ses individualités offensives. Mais pour nous ce match est important si on veut avoir de l'ambition cette année, il faut se faire respecter et vaincre absolument à domicile. Le groupe a bien réagi à Achen, il est à même de se montrer décisif à la conclusion face à Morhange! ".
Sont convoqués: Spohr, Fegel, Chamekh, Ciumber, Medjahdi, N'Diaye, Wilhelm, Carzoum, S. Ait Abbou, Ben, Faida, Zabbadi, Ousga, lmareghne, Ilbay, Meskine.
MERLEBACH - MORHANGE : 0-0
Stade Philippe Schuth. Arbitre : M. Scheffer
Le jeu était animé d’entrée et Spohr, le gardien local, intervenait dès la première minute, sur une tentative de Perek. Le cerbère morhangeois Triches en faisait de même sur un centre tir d‘Ousga (4e). La partie était lancée, Spohr devant sortir le grand jeu pour dévier une frappe de Nadir, puis renvoyer une autre de Flausse (13e), avant que Flausse encore ne manque le cadre (20e). Passé ce coup de feu, Merlebach réagissait avec un tir sur le montant décoché par Ousga (26e), suivi d’un renvoi sur la ligne d’un défenseur morhangeois (28e). Des efforts louables certes, mais stériles jusqu’à la pause.
Les visiteurs se montraient à nouveau menaçants à la reprise et Spohr devait écarter, d’une claquette, un coup franc de F. Colleatte (52e). En riposte, Ben Faida perçait plein champ et trouvait les genoux de Triches à la parade (60e). Les occasions étaient là mais, de part et d’autre, on manquait de finition et on s’en remettait un éventuel coup de dés qui ne viendra jamais.
RL du 21/09/2015
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